Il fallait à la cité cadurcienne un pont digne de ce nom… On raconte que, désespéré par la lenteur des travaux, le maître d’œuvre décida de passer un pacte avec un petit démon en échange de son âme. La fin des travaux approchant, le maître d’œuvre tenta de tromper le petit démon et fut alors maudit pour sa fourberie. Ainsi, le sommet de la tour centrale du Pont Valentré s’écroula et jamais il ne put terminer son ouvrage. Un demi-siècle plus tard, on y fit ériger une pierre à l’effigie du petit démon en souvenir de cette histoire. Aujourd’hui notre diable d’œnologue, Jean Noel Barrau, nous fait découvrir sa dernière espièglerie au travers de ce blanc fruité, nouveau petit démon en pays cadurcien.